DEUXIÈME PARTIE : FOIRE AUX QUESTIONS
Foire aux questions

Cette partie renferme des questions et des réponses :

Note : En tout temps, les enseignantes et les enseignants peuvent se référer à la politique et à la directive administrative de leur conseil scolaire en ce qui concerne ces questions.

Les questions et les réponses ont été regroupées selon les chapitres de la politique d’évaluation et de la communication du rendement. Des liens sont faits aux chapitres de la politique, le cas échéant.

Chapitres de la politique

Volets de la FAQ du document

Chapitre 1 – Les principes directeurs

Volet 1

Chapitre 2 – Les attentes génériques découlant de la Politique d’aménagement linguistique

Volet 2

Chapitre 3 – Les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail de la 1re à la 12e année

Volet 3

Chapitre 4 – La grille d’évaluation du rendement

Volet 4

Chapitre 5 – L’évaluation au service de l’apprentissage et en tant qu’apprentissage

Volet 5

Chapitre 6 – L’évaluation de l’apprentissage

Volet 6

Chapitre 7 – La communication du rendement

Volet 7

Chapitre 8 – Les élèves ayant des besoins particuliers : modifications, adaptations et programmes composés d’attentes différentes

Volet 8

Chapitre 9 – L’actualisation linguistique en français et le programme d’appui aux nouveaux arrivants

Volet 9

Chapitre 10 – L’apprentissage électronique

Volet 10

Chapitre 11 – La récupération de crédits

Volet 11

Volet 1 − Les principes directeurs

  1. Quel est le but de toute évaluation et de la communication du rendement?

    Le but premier de toute évaluation et de la communication du rendement est d’améliorer l’apprentissage de l’élève. p. 6

  2. Comment peut-on assurer la validité et la fidélité des évaluations?

    Pour assurer la validité et la fidélité des évaluations, il faut utiliser des pratiques qui tiennent compte des principes directeurs tels qu’ils sont énoncés dans la politique. p. 6

  3. Qu’est-ce qui assure la transparence en matière de pratiques d’évaluation et de communication du rendement?

    Les pratiques d’évaluation et de communication du rendement sont transparentes lorsqu’on évalue l’apprentissage de l’élève en se fondant sur des preuves qui attestent du rendement de ce dernier par rapport aux attentes (normes de contenu) prescrites dans les programmes-cadres de la 1re à la 12e année. La transparence sera assurée par l’utilisation de la grille d’évaluation du rendement grâce à laquelle le personnel enseignant peut porter un jugement sur le rendement de l’élève basé sur quatre compétences et quatre niveaux de rendement clairs et précis (normes de performance). p. 7

Volet 2 − Les attentes génériques découlant de la Politique d’aménagement linguistique

  1. Comment doivent être évaluées les deux attentes génériques?

    Comme toutes les autres attentes, ces deux attentes génériques doivent faire l’objet d’évaluations diagnostiques, formatives et sommatives, qui seront fondées sur les huit principes directeurs et qui seront effectuées en fonction de la grille d’évaluation. Ces attentes seront évaluées dans le contexte du curriculum de l’Ontario. p. 12

  2. Comment recueillir les données sur les attentes génériques?

    Les données sont recueillies à l’aide d’observations directes et indirectes qui permettent de porter un regard de nature holistique sur le cheminement culturel de l’élève. p. 13

Volet 3 − Les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail de la 1re à la 12e année

  1. Pourquoi les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail figurent-elles sur le bulletin du progrès scolaire et le bulletin scolaire?

    Les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail qui figurent sur le bulletin du progrès scolaire et le bulletin scolaire (p. ex., utilisation du français oral) font partie intégrante de l’apprentissage de l’élève.

  2. Les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail sont-elles évaluées séparément des attentes du curriculum?

    Les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail, sauf celles qui sont intégrées aux attentes et aux contenus d’apprentissage du curriculum, sont évaluées indépendamment des matières du curriculum selon l’échelle suivante : Excellent, Très Bien, Satisfaisant, Amélioration nécessaire. p. 16

  3. Pourquoi les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail sont-elles évaluées séparément des attentes du curriculum?

  4. Est-ce toujours possible d’évaluer séparément les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail?

    Non. Le programme-cadre d’éducation physique de l’élémentaire et le programme-cadre de mathématiques de l’élémentaire et du secondaire illustrent des situations où il est impossible de séparer l’évaluation des attentes du programme-cadre de l’évaluation des habiletés d’apprentissage et des habitudes de travail. p. 16

  5. Comment l’élève peut-elle ou peut-il démontrer l’atteinte d’une habileté d’apprentissage ou d’une habitude de travail en particulier?

    Au moyen de comportements observables, l’élève peut démontrer l’atteinte d’une habileté d’apprentissage ou d’une habitude de travail en particulier.

  6. Est-ce que les habiletés à développer et les habitudes de travail doivent faire partie intégrante de la planification de l’enseignement, de l’apprentissage et de l’évaluation?

  7. Quels critères d’évaluation peuvent être utilisés pour mesurer les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail?
  8. Quel message faut-il transmettre aux parents concernant l’importance des habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail?

    Destinées à préparer les élèves à bien apprendre tout le long de leur vie, les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail font partie intégrante de l’apprentissage global visé par les études aux paliers élémentaire et secondaire. p. 20

  9. Doit-on avertir les élèves lorsqu’on évalue les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail?

  10. Comment savoir ce qu’est un nombre suffisant de données en matière d’habiletés d’apprentissage et d’habitudes de travail?

  11. Quelle est la meilleure stratégie pour évaluer les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail?

  12. Doit-on évaluer les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail pour toutes les activités menées en salle de classe?
  13. L’évaluation par les pairs et l’autoévaluation peuvent-elles servir à mesurer les habiletés d’apprentissage et des habitudes de travail?

    Ces stratégies sont extrêmement utiles à l’évaluation formative et à la détermination des objectifs d’apprentissage personnels fixés par l’élève, mais il ne faut en aucun cas les utiliser en vue de les consigner au bulletin.

  14. Quelle est l’importance des devoirs/travaux non effectués ou en retard sur le compte rendu des habiletés d’apprentissage et des habitudes de travail?

    Les devoirs/travaux non effectués doivent faire partie de l’évaluation au regard de certaines habiletés d’apprentissage et habitudes de travail, p. ex., la fiabilité, le sens de l’organisation. Cependant, les devoirs/travaux non effectués ne constituent qu’un élément dans l’ensemble des données recueillies. p. 17

  15. Existe-t-il un lien entre l’échelle des habiletés d’apprentissage et des habitudes de travail et les niveaux de rendement?

    Non, il s’agit de deux échelles de notation radicalement différentes.

  16. Dans quels cas les commentaires du bulletin scolaire devraient-ils refléter les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail?

    Le bulletin de progrès scolaire et le bulletin scolaire de l’Ontario comportent une section distincte pour indiquer le rendement général de l’élève au regard des habiletés d’apprentissage et des habitudes de travail en matière d’apprentissage. L’élève peut démontrer ces habiletés d’apprentissage et ces habitudes de travail dans toutes les matières à l’étude et dans son comportement à l’école.

  17. De quels organismes s’est inspiré le ministère de l’Éducation de l’Ontario pour élaborer les habiletés d’apprentissage et les habitudes de travail?

    Le ministère de l’Éducation de l’Ontario s’est inspiré d’organismes tels que Ressources humaines et Développement social Canada (RHDCC), le Conference Board du Canada et le projet de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). p. 19 et 20

Volet 4 − La grille d’évaluation du rendement

  1. Qu’est-ce qu’un domaine d’études?

    Pour chaque matière du curriculum, les domaines regroupent des attentes et des contenus d’apprentissage.

  2. Qu’est-ce qu’une attente?

    Les attentes résument, en termes généraux, les connaissances et les habiletés que l’élève doit démontrer à la fin de chaque année d’études ou cours. p. 24

  3. Qu’est-ce qu’un contenu d’apprentissage?

    Les contenus d’apprentissage sont des énoncés spécifiques qui précisent les éléments ou la portée des connaissances et des habiletés sous-jacentes aux attentes. p. 24 et 48

  4. Quel est le lien entre les attentes et les contenus d’apprentissage?

  5. Comment les contenus d’apprentissage doivent-ils être abordés dans le cadre de l’enseignement, de l’apprentissage et de l’évaluation?

    Au lieu de traiter chaque contenu d’apprentissage séparément, il est plus pratique de rassembler plusieurs contenus en un seul et même groupe représentant un apprentissage clé pour la matière à enseigner.

  6. Quel est le but des « exemples » qui accompagnent certaines attentes et certains contenus d’apprentissage?
  7. Où les attentes, les contenus d’apprentissage et les compétences s’insèrent-ils dans le processus de planification?
  8. Comment établit-on le lien entre les attentes et les compétences de la grille d’évaluation du rendement?

  9. Quelles normes renferme le curriculum de l’Ontario.

    Le curriculum de l’Ontario renferme des normes de contenu et des normes de performance. p. 24

  10. Que représentent les normes de contenus?

    Les normes de contenu sont les attentes et les contenus d’apprentissage du curriculum pour chaque matière; elles décrivent les connaissances et les habiletés que chaque élève doit développer et démontrer dans son travail de classe, ses travaux, ses examens ou toute autre activité qui sert à évaluer son apprentissage. p. 24 et p. 167

  11. Que représentent les normes de performance?

    Les normes de performance sont décrites dans la grille d’évaluation du rendement de chaque programme-cadre. Elles permettent au personnel enseignant de porter un jugement professionnel sur la qualité du rendement de l’élève basé sur des niveaux de rendement clairs et précis et sur des données recueillies sur une période prolongée. p. 24 et p. 167

  12. Est-ce obligatoire d’utiliser la grille d’évaluation du rendement?

  13. Les niveaux de rendement doivent-ils être utilisés pour évaluer le rendement des élèves?

    Les niveaux de rendement sont utilisés au cours des évaluations en salle de classe et sont convertis sur le bulletin scolaire en cotes pour les élèves de la 1reà la 6e année et en pourcentage pour les élèves de la 7e à la 12e année en vue de faciliter la communication du rendement aux parents. p. 26

  14. Pourquoi les compétences de la grille d’évaluation du rendement pour les diverses matières/disciplines n’apparaissent-elles pas sur le bulletin?

    Les compétences de la grille d’évaluation du rendement fournissent des renseignements précieux sur l’apprentissage des élèves, mais le bulletin communique le rendement global de l’élève en fonction de l’atteinte des attentes de chaque matière/discipline ou des domaines des matières/disciplines.

  15. Étant donné que les quatre mêmes compétences font partie des grilles d’évaluation du rendement révisées, cela veut-il dire qu’elles portent la même signification dans tous les programmes-cadres?

  16. Doit-on accorder plus d’importance à une compétence de la grille d’évaluation qu’à une autre?

  17. Doit-on évaluer les quatre compétences au cours de chaque tâche d’évaluation?

  18. Comment se définit la norme provinciale?

  19. Que signifie le niveau 1?
  20. Que signifie le niveau 2?
  21. Que signifie le niveau 4?
  22. Qu’est-ce qu’une grille d’évaluation adaptée?
  23. Quel est l’impact d’une évaluation critériée sur la distribution des notes dans une classe?
  24. Quelles sont les différentes approches en notation utilisées pour évaluer le rendement des élèves?
  25. Quelle(s) approche(s) devraient être utilisée(s) pour évaluer le rendement des élèves?
  26. L’évaluation doit-elle toujours tenir compte des niveaux?
  27. Comment peut-on évaluer le rendement de l’élève dans une tâche d’évaluation intégrée, de la 1re à la 8e année?

Volet 5 − L’évaluation au service de l’apprentissage et en tant qu’apprentissage

  1. Que représente l’évaluation au service de l’apprentissage et l’évaluation en tant qu’apprentissage?

    L’évaluation dans l’intention d’améliorer l’apprentissage de l’élève est traduite par deux
    expressions : évaluation au service de l’apprentissage et évaluation en tant qu’apprentissage. p. 36

  2. D’où proviennent les renseignements que le personnel utilisera dans le processus d’évaluation au service de l’apprentissage et d’évaluation en tant qu’apprentissage?

    Les renseignements proviennent de sources diverses :
    p. 36

  3. Que représentent les résultats d’apprentissage?

    Les résultats d’apprentissage sont des énoncés brefs, concis et précis qui décrivent, dans un langage que l’élève comprend, ce qu’elle ou il doit connaître et faire à la fin d’une leçon ou d’une série de leçons. p. 41

  4. Que représentent les critères d’évaluation?

    Les critères d’évaluation décrivent clairement ce qui est requis pour satisfaire aux résultats d’apprentissage. p. 42

  5. Comment susciter des preuves d’apprentissage chez l’élève?

    Le personnel enseignant utilise une variété de stratégies d’évaluation pour susciter des preuves d’apprentissage chez l’élève. Ces stratégies devraient permettre d’obtenir des preuves d’apprentissage par triangulation, c’est-à-dire par des observations, des conversations et des productions. p. 42

  6. Pourquoi fournir une rétroaction descriptive à l’élève?

    La rétroaction descriptive fournit aux élèves une description de leur apprentissage. En fournissant une rétroaction descriptive, l’écart entre le niveau de préparation actuel de l’élève et le résultat d’apprentissage visé sera considérablement réduit. p. 43

  7. Comment rendre l’élève apte à s’autoévaluer et à évaluer ses pairs?

    Lorsque l’élève, avec l’appui du personnel enseignant, apprend à déterminer, à décrire et à utiliser les critères d’évaluation relatifs aux résultats d’apprentissage ciblés, elle ou il peut alors évaluer son travail ainsi que celui de ses pairs. p. 43

  8. Comment rendre l’élève apte à se fixer des objectifs d’apprentissage personnels?

    À mesure que l’élève développe ses habiletés à s’autoévaluer, elle ou il reconnaît précisément ce qu’elle ou il doit faire pour améliorer son apprentissage et planifier les prochaines étapes. Le personnel enseignant commence par modeler l’établissement d’objectifs d’apprentissage personnels. p. 44

Volet 6 − L’évaluation de l’apprentissage 

  1. Que représente l’évaluation de l’apprentissage?

    L’évaluation de l’apprentissage est un processus qui consiste à juger de la qualité du travail accompli par l’élève en fonction des normes de performance établies et à déterminer la note finale qui représente cette qualité. p. 48

  2. Est-ce que l’on évalue toutes les attentes et les contenus d’apprentissage?
  3. Est-ce que plus d’une attente peut être évaluée dans une tâche d’évaluation?
  4. Combien d’évaluations sommatives sont nécessaires pour accorder une note sur le bulletin scolaire?
  5. Doit-on utiliser la grille d’évaluation du rendement pour communiquer le rendement de l’élève sur le bulletin?
  6. Une note de 100 % peut-elle être atteinte de la 7e à la 12e année?

    L’élève qui démontre un rendement au niveau 4+ peut obtenir une note entre 95% à 100% (voir le tableau de conversion à la p. 51).

  7. Quelle est la méthode utilisée pour faire le transfert d’un niveau de rendement à une cote ou à une note en pourcentage?

    Les tableaux de conversion devraient être utilisés pour traduire les niveaux en cotes ou en pourcentages. p. 50 et 51

  8. Que signifie le R?
  9. Que signifie la cote I?
  10. Comment détermine-t-on la note finale du bulletin scolaire?
  11. Les travaux remis en retard ou les travaux non remis doivent-ils influer sur la note finale? 

    Il faut expliquer aux élèves dès le début de l’année qu’elles et ils sont responsables non seulement de bien se comporter dans la salle de classe et à l’école en général, mais aussi de fournir des preuves pour témoigner du degré avec lequel elles et ils satisfont aux attentes du curriculum en fonction de l’échéancier et du format établis par l’enseignante ou l’enseignant. Elles et ils doivent comprendre qu’il y aura des conséquences si elles et ils ne remettent pas un travail ou si elles et ils le remettent en retard.

    De la 1re à la 6e année

    De la 7e à la 12e année

  12. Que doivent comprendre les directives des conseils scolaires relativement aux travaux non remis ou aux travaux remis en retard?

    Les directives des conseils scolaires comprendront ce qui suit :
  13. Est-il possible d’inclure l’évaluation par les pairs et l’autoévaluation dans la détermination de la note attribuée à l’élève?
  14. Comment peut-on s’assurer que le processus de planification de l’enseignement, de l’apprentissage et de l’évaluation est cohérent et transparent?

    Les enseignantes et les enseignants devraient :

  15. Doit-on évaluer le processus aussi bien que le produit de l’apprentissage?
  16. Que signifie l’expression utiliser une variété de stratégies d’évaluation afin de susciter des preuves d’apprentissage de l’élève?
  17. Que signifie l’expression occasions multiples et diverses?

Volet 7 − La communication du rendement

  1. Que représente la note du bulletin pour chacune des matières/disciplines?

    La note communique le rendement de l’élève relativement aux attentes du curriculum dans chaque matière.
    p. 68 et 69

  2. Que doivent contenir les commentaires du bulletin?

Questions et réponses portant sur les bulletins scolaires
Document publié par le MÉO, version révisée du 30 juin 2010

PALIER ÉLÉMENTAIRE

QUESTION :
La dernière page du bulletin provincial comprend une partie en bas qui est détachable afin que les parents et l’élève puissent retourner leurs commentaires à l’école et que les parents puissent confirmer qu’ils ont reçu le bulletin. Ne serait-il pas mieux de placer cette partie sur une page distincte afin de :

  • fournir plus d’espace pour que les parents puissent écrire leurs commentaires;
  • faciliter son entreposage;
  • réduire les risques qu’un élève (p. ex., un élève de 1re année) la perde en la rapportant à l’école?

RÉPONSE :
Aucune modification ne peut être apportée aux bulletins de progrès scolaire ni aux bulletins scolaires de l’Ontario.

QUESTION :
Pouvons-nous changer les dimensions des sections « Points forts et prochaines étapes pour s’améliorer » afin qu’elles répondent à nos besoins? Si oui, quelle est la limite?

RÉPONSE :
Ni les dimensions ni l’emplacement des sections « Points forts et prochaines étapes pour s’améliorer » sur le bulletin de progrès scolaire et sur le bulletin scolaire ne peuvent être modifiées.

QUESTION :
Avez-vous déterminé la grosseur des caractères et le type de police à utiliser ou pouvons-nous les déterminer avec notre fournisseur?

RÉPONSE :
Pour assurer la lisibilité des commentaires, ceux-ci devraient être indiqués en caractères de 9 points. (Cette recommandation est comprise dans Faire croître le succès.) Nous n’avons pas précisé le type de police.

QUESTION :
Les domaines en français et en mathématiques n’ont pas été précisés sur le bulletin de progrès scolaire; cependant, les domaines en éducation artistique et en éducation physique et santé s’y retrouvent. Cela ne semble pas très cohérent étant donné l’importance de la littératie et de la numératie. Pouvons-nous effectuer des modifications?

RÉPONSE :
Il est interdit de modifier le gabarit des bulletins. Si les quatre domaines en éducation artistique sont précisés, c’est qu’on les considère comme des matières. En ce qui a trait à l’éducation physique et santé, le personnel enseignant doit désormais communiquer séparément le rendement de l’élève en éducation physique et en santé.

QUESTION :
L’apprentissage du français est la responsabilité de tout le personnel enseignant de l’école. Alors, comment se fait-il que le bulletin scolaire ne contienne pas de cases ALF en mathématiques, en sciences, etc.?

RÉPONSE :
Le programme-cadre Actualisation linguistique en français comprend les mêmes domaines que le programme-cadre Français, c’est-à-dire la communication orale, la lecture et l’écriture. Si l’élève suit le programme-cadre Actualisation linguistique en français, il est évalué en fonction des attentes de ce programme-cadre et non du programme-cadre Français. Pour toutes les autres matières, ce même élève suit le curriculum ordinaire (sauf s’il requiert des attentes modifiées ou différentes). Par contre, il est vrai que tout le personnel enseignant partage la responsabilité d’aider les élèves apprenant le français à progresser. Dans l’introduction du programme-cadre Actualisation linguistique en français, on le précise en ces termes : « Le programme-cadre d’ALF confie à tout un chacun des intervenants de l’équipe-école, indépendamment de la matière enseignée, la responsabilité individuelle et collective d’amener l’élève apprenant le français à un niveau de connaissances langagières élevé afin d’assurer sa réussite. »

QUESTION :
Au chapitre 7, il est écrit ceci : « Il n’est pas nécessaire que le personnel enseignant écrive des commentaires pour toutes les matières et domaines dans la section Points forts et prochaines étapes pour s’améliorer du bulletin de progrès scolaire ». Est-ce que cet énoncé signifie que le personnel enseignant à l’élémentaire peut ne pas inscrire de commentaires anecdotiques?

RÉPONSE :
Le personnel enseignant doit utiliser la section prévue pour inscrire des commentaires anecdotiques afin de renseigner les parents sur les progrès de leurs enfants. Cependant, il n’est pas nécessaire d’écrire des commentaires portant sur TOUTES les matières ou tous les domaines.

QUESTION :
Sur le bulletin scolaire à l’élémentaire, les cases PEI se trouvent à côté de chaque domaine, mais aucune case PEI ne paraît pour l’ensemble de la matière. Pourquoi est-ce ainsi?

RÉPONSE :
La case PEI se trouve maintenant à côté de chaque domaine afin de faire mieux correspondre le bulletin scolaire avec le PEI et les besoins de l’élève.

QUESTION :
Doit-on évaluer les attentes génériques dans le cadre de l’évaluation au service de l’apprentissage ou dans le cadre de l’évaluation de l’apprentissage?

RÉPONSE :
Les attentes génériques, comme toutes les autres attentes, sont évaluées à partir des quatre compétences de la grille d’évaluation du rendement. Donc, le personnel enseignant peut planifier l’évaluation des attentes génériques dans le cadre de l’évaluation au service de l’apprentissage et dans le cadre de l’évaluation de l’apprentissage.

QUESTION :
Mon conseil scolaire n’offre pas de cours de langues autochtones. Peut-on l’enlever du bulletin scolaire?

RÉPONSE :
Non. La section sur le bulletin qui porte sur la communication du rendement de l’élève en fonction du programme-cadre Langues autochtones ne doit pas être supprimée du bulletin scolaire.

QUESTION :
Puisqu’il n’y a qu’une seule section « Points forts et prochaines étapes pour s’améliorer » sur le bulletin de progrès scolaire, chacun des membres du personnel enseignant qui enseigne à chaque élève se partage cet espace. Certains écrivent de plus longs commentaires que d’autres. Comment faire pour qu’une enseignante ou qu’un enseignant n’utilise pas tout l’espace ou une plus grande portion de cet espace qu’un autre? Il ne serait pas approprié non plus de résumer ou de modifier les commentaires inscrits par une ou un collègue. Ce sont des difficultés que nous pose déjà la version actuelle du bulletin scolaire de l’élémentaire. Combien d’espace devons-nous allouer à chaque enseignante ou à chaque enseignant?

RÉPONSE :
La section « Points forts et prochaines étapes pour s’améliorer » du bulletin de progrès scolaire n’est pas divisée par matières. Il faut donc que le personnel enseignant se partage cette section. La version électronique devrait leur faciliter le partage de cet espace. Le Ministère croit que l’élève tirera profit du fait que le personnel enseignant évalue son travail en collaboration, au sein d’équipes. Si une enseignante ou un enseignant écrit plus de commentaires que ses collègues, cela est tout à fait acceptable. Il n’est pas nécessaire que les commentaires d’une enseignante ou d’un enseignant soient placés à côté de la matière enseignée et il n’est pas nécessaire non plus d’inscrire des commentaires pour toutes les matières et tous les domaines.

QUESTION :
Lorsque nous indiquons le nombre de retards et d’absences sur le premier des deux bulletins scolaires provinciaux, à partir de quel point de l’année doit-on commencer le calcul? Est-ce qu’il faut faire le calcul à partir du premier jour après la remise du bulletin de progrès scolaire ou à partir du premier jour de l’année scolaire? (Normalement, nous déterminerions le nombre cumulatif de retards et d’absences à partir du premier jour de l’année scolaire.)

RÉPONSE :
Il y a trois étapes de communication du rendement : 1) le bulletin du progrès scolaire; 2) le premier bulletin scolaire provincial; le deuxième bulletin scolaire provincial. Pour chacune de ces étapes, le nombre de retards et d’absences est consigné pour cette étape. Pour chacune de ces trois étapes, les absences cumulatives et les retards cumulatifs, à partir du premier jour de l’année scolaire, sont consignés sur les bulletins.

QUESTION :
Sur le bulletin de progrès scolaire, il y a deux sections vides qui sont réservées au conseil scolaire. Est-ce que ces sections peuvent demeurer vides?

RÉPONSE :
Non. Chaque conseil scolaire doit travailler avec son fournisseur pour concevoir ces sections, dont l’une est située au haut de la première page et l’autre au bas de la deuxième page. Le conseil scolaire s’assurera que ses écoles élémentaires utilisent la version du bulletin de progrès scolaire qui contient les sections telles que conçues par le conseil scolaire en collaboration avec son fournisseur.

QUESTION :
Que suggérez-vous pour la conception de ces deux sections?

RÉPONSE :
Une liste de suggestions à ce sujet est fournie à la page 62 de Faire croître le succès. Le conseil scolaire peut prévoir, par exemple, que cette section se détache afin de permettre aux parents de la remplir chez eux et de la retourner ensuite à l’école (comme celle du bulletin scolaire de l’Ontario). Les conseils scolaires devraient travailler en étroite collaboration avec leur fournisseur afin de concevoir ces sections.

QUESTION :
Est-ce que l’information consignée sur le bulletin de progrès scolaire sera comprise dans les renseignements fournis à SISOn?

RÉPONSE :
Le Ministère étudie présentement cette question. Nous vous communiquerons plus d’informations à ce sujet en temps voulu.

QUESTION :
Est-ce qu’on devrait offrir à chaque enseignante ou à chaque enseignant d’une matière spécifique la possibilité d’inscrire une cote (E, T, S, N) pour les habiletés d’apprentissage et habitudes de travail? Est-ce que toutes les enseignantes ou tous les enseignants d’un élève peuvent inscrire des commentaires?

RÉPONSE :
Seul le titulaire (en collaboration avec les autres membres du personnel enseignant, le cas échéant) peut déterminer et inscrire la cote pour les habiletés d’apprentissage et habitudes de travail. Cependant, toutes les enseignantes et tous les enseignants qui enseignent à un élève peuvent inscrire des commentaires sur le bulletin de progrès scolaire et sur le bulletin scolaire de l’Ontario.

PALIER SECONDAIRE

QUESTION :
Est-ce que les pages du bulletin scolaire des écoles semestrielles doivent être numérotées? La plupart de nos élèves suivent quatre cours et leur bulletin ne requiert que trois pages.

RÉPONSE :
Oui. La numération fait partie du gabarit du bulletin. Il ne faut pas modifier les pages du bulletin ou leur numération. Il est vrai que la plupart des élèves suivent quatre cours donnant droit à un crédit par semestre, mais certains élèves suivent aussi des cours à demi-crédit et le bulle tin de ces derniers exigera deux pages. On ne peut pas apporter des modifications au gabarit pour le rajuster en fonction de ces cas, car l’uniformité des bulletins doit être respectée afin que tous les élèves reçoivent un bulletin standard.

QUESTION :
Par souci de l’environnement, nous aimerions réduire le nombre de pages imprimées. Pouvons-nous imprimer la page 4 au dos de la page 1 et modifier la numération des pages?

RÉPONSE :
Non. Le gabarit du bulletin ne peut être modifié de quelque façon que ce soit.

QUESTION :
Le tableau de correspondance entre les niveaux de rendement et les notes en pourcentages ne comprend pas l’option « DIF ». Cependant, on peut inscrire « DIF » sur le Relevé de notes de l’Ontario pour les élèves inscrits à des cours comportant des attentes différentes par rapport au curriculum, lesquels ne donnent pas droit à des crédits.

RÉPONSE :
On ne doit pas inscrire « DIF » sur le bulletin scolaire. Veuillez consulter la rubrique PEI avec attentes différentes à la page 76 de Faire croître le succès pour de plus amples renseignements.

QUESTION :
Quel est le nombre maximal de caractères d’imprimerie que l’on peut utiliser dans la section des commentaires? Que suggérez-vous comme grosseur de caractère?

RÉPONSE :
Pour en assurer la lisibilité, les commentaires devraient être indiqués en caractères de 9 points.

QUESTION :
Pour les cours offerts en 9e et 10e année, le quatrième caractère du code de cours pourra être 1, 2, A ou B. Dans le cas des cours de langues classiques qui ont pour code de cours « LVxBx », on considère que ces cours correspondent à la 11e année. La politique de divulgation complète doit donc s’appliquer. Pourrait-on quand même utiliser « I » pour ces cours?

RÉPONSE :
Non.

QUESTION :

Les colonnes où on doit inscrire le nombre de crédits obtenus, la note en pourcentage, les absences cumulatives et les retards cumulatifs et peut-être même le numéro de téléphone semblent être trop étroites. Par exemple, il n’y aura peut-être pas assez d’espace pour inscrire un demi-crédit (0,50) ou 88 absences. Si c’est le cas, peut-on réduire la grosseur des caractères et utiliser un point 8 pour ces sections?

RÉPONSE :

Oui. Si c’est nécessaire, on peut réduire la grosseur des caractères dans ces colonnes.

QUESTION :
La médiane d’une petite classe pourrait-elle être « I »? Nous ne voudrions pas qu’il soit possible de déterminer la note obtenue par certains élèves. Est-ce que la médiane devrait-être éliminée dans un tel cas?

RÉPONSE :
Nous nous attendons à ce que très peu d’élèves obtiennent un « I » sur leur bulletin scolaire et que « I » ne soit jamais la médiane. Il ne serait donc pas nécessaire d’éliminer la médiane. Veuillez noter que « I » n’est pas une note. Le code « I » est défini à la page 52 de Faire croître le succès. Lorsqu’on détermine la médiane, le code « I » est placé en dessous des notes en pourcentage.

QUESTION :
Comment doit-on calculer la médiane du cours? Est-ce que la médiane d’un cours semestriel devrait être calculée séparément de celle d’un cours non semestriel? Comment devons-nous calculer la médiane dans le cas de livraisons variées de cours (p. ex., un élève qui satisfait plus tôt que prévu aux attentes d’un cours, le programme de récupération de crédits, l’apprentissage électronique et l’éducation coopérative)?

RÉPONSE :
La médiane du cours est calculée pour tous les élèves qui suivent le cours.

Les cours semestriels et non semestriels devraient avoir des médianes différentes puisque les élèves en sont à des points différents du cours lors de la remise du bulletin.

Les élèves qui suivent des cours par l’entremise de l’apprentissage électronique sont compris dans la moyenne de la médiane. 

Le cours d’éducation coopérative ainsi que le cours connexe sont consignés de façon distincte sur le bulletin scolaire et sur le Relevé de notes de l’Ontario; on y inscrit le titre du cours et le code de cours pour les deux cours. Le cours d’éducation coopérative est signalé par l’ajout de « Coop » après le titre du cours, et sur le relevé de notes par la lettre « C » dans la colonne intitulée « Précisions ». La médiane est calculée pour le cours connexe, mais la médiane ne devrait pas être calculée pour le cours d’éducation coopérative. Dans le cas d’un cours d’éducation coopérative, on ne remplit donc pas la colonne « Médiane » du bulletin scolaire.

Il faut consigner la note finale obtenue par l’élève qui suit un programme de récupération de crédits sur la version finale du bulletin scolaire (semestriel et non semestriel). La note obtenue dans un programme de récupération de crédits ne doit pas être comprise dans le calcul de la médiane du cours suivi par les autres élèves. Il ne faut rien inscrire dans la colonne « Médiane » du bulletin scolaire de l’élève pour le cours suivi dans le cadre d’un programme de récupération de crédits.

La note d’un élève qui satisfait plus tôt que prévu aux attentes d’un cours devrait être comprise dans le calcul de la médiane, même si cet élève a satisfait aux exigences du cours plus tôt que les autres.

QUESTION :
Pour les élèves qui  préparent le DESO en vertu des exigences de la circulaire EOCIS oupour les élèves qui préparent le diplôme d’études secondaires en vertu de la Circulaire H.S.1. 1979-1981, comment peut-on remplir la page « Satisfaction des conditions d’obtention du diplôme »? Puisque les sections et les descriptions des crédits obligatoires font partie du gabarit du bulletin et ne doivent pas être changées, que peut-on faire?

RÉPONSE :
La section intitulée « Section réservée à l’école » sur la page « Satisfaction des conditions d’obtention du diplôme » peut être utilisée pour consigner des exigences particulières au niveau local, la satisfaction de programmes spécialisés ou encore l’obtention de certificats par l’élève. Comme par le passé, le nombre de crédits obtenus devrait être consigné sur cette page avec les renseignements et les commentaires appropriés dans la « Section réservée à l’école ».

QUESTION :
Quelle est la valeur numérique du « I »?

RÉPONSE :
Il n’existe pas de valeur numérique pour « I » Veuillez consulter la page 52 de Faire croître le succès pour de plus amples renseignements.

QUESTION :
Sur la page « Satisfaction des conditions d’obtention du diplôme », qui doit remplir la section réservée à l’école?

RÉPONSE :
Dans plusieurs écoles, la directrice ou le directeur désigne un membre du personnel scolaire – par exemple, la ou le secrétaire ou un adjoint ou une adjointe administrative – pour remplir cette section.

QUESTION :
Le code « I » n’est pas inscrit sur les bulletins scolaires des élèves en 11e et 12e année. Quand vous parlez ainsi de la 11e ou de la 12e année, s’agit-il de l’année d’études du cours ou de l’année d’études de l’élève?

RÉPONSE :
Il s’agit de l’année d’études du cours.

PALIERS ÉLÉMENTAIRE ET SECONDAIRE

QUESTION :
Avant de classer les bulletins scolaires dans le Dossier scolaire de l’Ontario (DSO) de l’élève, faut-il s’assurer qu’ils aient été signés par la directrice ou le directeur d’école?

RÉPONSE :
Oui. Pour que les bulletins scolaires soient valides, ils doivent comprendre la signature de la directrice ou du directeur d’école.

QUESTION :
Comment calculer la médiane s’il y a un nombre pair d’élèves (p. ex., 40 élèves suivent un cours – le 20e élève a une note de 63 % et le 21e élève a une note de 60 %)?

RÉPONSE :
Il faut trouver le point milieu entre les nombres situés d'un côté et de l'autre de la position de la médiane. Dans l’exemple donné, la médiane serait calculée ainsi : (63 + 60)/2 = 61,5.

QUESTION :
Étant donné les changements qui ont été apportés aux notes, aux matières et aux habiletés d’apprentissage et habitudes de travail, comment le Ministère va-t-il maintenir les analyses de tendances?

RÉPONSE :
En ce qui concerne les notes qui portent sur les cinq domaines des mathématiques à l’élémentaire ou les médianes des cours au palier secondaire, l’analyse des tendances peut être maintenue puisqu’il n’y a pas eu de changements. Pour ce qui est des habiletés d’apprentissage et habitudes de travail de la 1re à la 12e année ou des notes distinctes en éducation physique et santé, l’analyse des tendances devra commencer à partir de l’année scolaire 2010-2011.

QUESTION :
Est-ce qu’une cote ou une note en pourcentage devrait accompagner le code « I » ?

RÉPONSE :
Non.

QUESTION :
Dans une petite école avec un petit nombre d’élèves inscrits à un cours ou une matière, est-ce que la médiane devrait être supprimée pour assurer la confidentialité?

RÉPONSE :
Non. La médiane fournit très peu d’information sur les notes obtenues par les autres élèves. Par exemple, la médiane pour une répartition de notes de 90, 80, 70, 60 et 50 est 70, soit la même que pour une répartition de 72, 71, 70,69 et 68.

QUESTION :
Dans une petite école, si seulement deux élèves sont inscrits à un cours ou dans une matière et qu’un de ces deux élèves obtienne un « I » ou un « R », quelle sera la médiane?

RÉPONSE :
Dans un cas spécial comme celui-là, rien ne devrait être inscrit dans la case réservée à la médiane.

QUESTION :
Est-ce que la version finale de Faire croître le succès comprendra des bulletins scolaires pour la maternelle et le jardin d’enfants?

RÉPONSE :
La version finale de Faire croître le succès comprendra les énoncés de politique portant sur le Programme d’apprentissage à temps plein de la maternelle et du jardin d’enfants. Ces lignes directrices seront déterminées en consultation avec nos partenaires au cours de l’année scolaire 2010-2011. Nous consulterons également nos partenaires sur la possibilité d’inclure des bulletins pour la maternelle et le jardin d’enfants dans la version finale de Faire croître le succès.

Volet 8 − Les élèves ayant des besoins particuliers : modifications, adaptations et programmes composés d’attentes différentes

  1. Que précise le PEI?

    Le PEI précise si l’élève nécessite :

  2. Sur quelles attentes le personnel enseignant fondera-t-il l’évaluation d’un élève ayant des besoins particuliers?
  3. Que désigne le terme adaptations?
  4. Que désigne l’expression attentes modifiées?
  5. Que désigne l’expression attentes différentes?

Volet 9 − L’actualisation linguistique en français et le programme d’appui aux nouveaux arrivants

  1. Pourquoi le programme ALF et le programme PANA ont-ils été instaurés?

    Pour répondre au mandat de l’école de langue française qui est d’éduquer et de transmettre la langue et la culture à tous les élèves, le Programme d’actualisation linguistique en français (ALF) et le Programme d’appui aux nouveaux arrivants (PANA) ont été instaurés pour permettre à ce groupe d’élèves d’acquérir les connaissances et les compétences nécessaires à leur réussite scolaire, puis à leur intégration à la communauté francophone et ultimement au monde du travail. Ces programmes d’appui au curriculum visent une intégration la plus rapide possible au programme d’études ordinaire.
    p. 90

  2. Quelle est l’étendue du programme d’ALF et du PANA?

    Pour respecter les besoins d’apprentissage en français des élèves qui suivent le programme d’ALF ou le PANA de la 1re à la 12e année, toutes les enseignantes et tous les enseignants de matières autres que le français doivent pratiquer la différenciation pédagogique des approches et des stratégies pour permettre à ces élèves de mieux suivre la matière enseignée et de développer les compétences nécessaires à leur réussite.
    p. 91

Volet 10 − L’apprentissage électronique

  1. Qu’est-ce que l’apprentissage électronique offre aux conseils scolaires?

    L’apprentissage électronique est l’une des options de présentation de cours dont peuvent se prévaloir les conseils scolaires pour compléter l’option plus traditionnelle de l’enseignement en classe (parmi d’autres options, on compte l’éducation coopérative, le Programme d’apprentissage pour les jeunes de l’Ontario [PAJO] et les cours du Centre d’études indépendantes [CEI]). Les conseils scolaires offrent des cours crédités en ligne par l’intermédiaire du Système de gestion de l’apprentissage (SGA) provincial.
    p. 96

  2. Pourquoi l’apprentissage électronique a-t-il été conçu?

    Apprentissage électronique Ontario (AÉO) a été conçu dans le but d’élargir l’éventail des possibilités en matière d’apprentissage pour aider tous les élèves à obtenir leur diplôme et à se préparer à la destination postsecondaire de leur choix.
    p. 96 et 97

Volet 11 − La récupération de crédits

  1. Que représente la récupération de crédits?

    La récupération de crédits est un processus qui permet à un ou à une élève inscrit ou inscrite à une école de jour pendant une année scolaire donnée et qui a échoué à un cours du curriculum de l’Ontario de se rattraper et de satisfaire aux attentes du cours en question.
    p. 100

  2. Comment doivent-être élaborés les programmes de récupération de crédits?

    Tous les programmes de récupération de crédits doivent être conformes aux 13 principes directeurs énoncés aux pages 100 et 101 de la politique. Ils doivent être fondés sur des cours actuellement approuvés par le ministère de l’Éducation. Les cours élaborés à l’échelon local et les ressources qui assurent la viabilité de la récupération de crédits et qui respectent les principes directeurs devraient continuer d’être utilisés et élaborés.
    p. 100 à 105